PLAINTES ( d'un homme )
Publié : samedi 19 mars 2011 18:50
PLAINTES ( d'un homme )
Dans l’oubli, dans l’oubli !
Mon âme est dans l’oubli.
Reste en ma compagnie.
Sois pour moi une amie
Dans ma mélancolie.
Un baiser, un souris;
Cela, seul me suffit
Pour draguer mes soucis
Et chasser mes ennuis.
Alors que la rosée dans le cœur de la nuit
Capuchonne la terre d’un fluide tapis.
Alors que le pétale de pommiers et de lis
Parfume l’atmosphère pour charmer en féerie.
Cependant, l’abandon tout autour de ma vie
Fleurit à profusion sans le moindre répit.
Hommes, femmes et petits, ensemble, ils me fuient.
Matin et soir je prie, pour avoir une amie.
J’ai le langage exquis mais je suis malbâti.
Je suis souvent gentil mais je suis démuni.
Le cœur endolori, j’ai l’esprit engourdit.
Je n’ai pas de chérie pour confesser mes cris.
Dans l’oubli, dans l’oubli !
Mon âme est dans l’oubli.
Reste en ma compagnie.
Sois pour moi une amie
Dans ma mélancolie.
Un baiser, un souris;
Cela, seul me suffit
Pour draguer mes soucis
Et chasser mes ennuis
Dans l’oubli, dans l’oubli !
Mon âme est dans l’oubli.
Reste en ma compagnie.
Sois pour moi une amie
Dans ma mélancolie.
Un baiser, un souris;
Cela, seul me suffit
Pour draguer mes soucis
Et chasser mes ennuis.
Alors que la rosée dans le cœur de la nuit
Capuchonne la terre d’un fluide tapis.
Alors que le pétale de pommiers et de lis
Parfume l’atmosphère pour charmer en féerie.
Cependant, l’abandon tout autour de ma vie
Fleurit à profusion sans le moindre répit.
Hommes, femmes et petits, ensemble, ils me fuient.
Matin et soir je prie, pour avoir une amie.
J’ai le langage exquis mais je suis malbâti.
Je suis souvent gentil mais je suis démuni.
Le cœur endolori, j’ai l’esprit engourdit.
Je n’ai pas de chérie pour confesser mes cris.
Dans l’oubli, dans l’oubli !
Mon âme est dans l’oubli.
Reste en ma compagnie.
Sois pour moi une amie
Dans ma mélancolie.
Un baiser, un souris;
Cela, seul me suffit
Pour draguer mes soucis
Et chasser mes ennuis