Croire en Dieu qui est mystère
En sa sainte mère
Qui étant restée toujours VIERGE
Comme le prophète Esaie, l’a dit
A porté et a enfanté à Bethléem, celui qui est La VIE.
Cette vie qui est elle-même un mystère
Qui prend corps en nous
Parce que la Vierge Marie, cette fille
De Nazareth a accepté sans
Sentiment d’egoisme, de la partager
Elle a elle-même nagé en plein mystère
Cette incarnation sans précédent, sans antécedent
Tout un mystère!
Croire en l’existence de ce Dieu, de ses saints, de ses anges
Qui existent en tout lieu, l’omnipresence
Qui ainsi se manifeste dans l’existence
Cette réalité que de nos sens l’on perÇois
Que de nos yeux l’on voit
Que l’on sent de nos odorats.
Ce grand Dieu qui a son trône dans le ciel
Et pour marche pied la terre dans toutes ses parcelles
Il le domine dans ces quatres extremités
Comme un adorable foetus l’a enfanté
Pour nous la donner.
La nature dans toute sa splendeur, sa corpulence
Sa beaute, exprime sa presence
L’espace, le temps, l’environnements le contient
La terre avec tous ces habitants, noir, jaune, rouge ou blanc
Les pays, les continents
Ces planètes soigneusement allignées
Ces millions d’étoiles scintilllantes, ces galaxies
Et nous, les hommes, on ne le voit pas
Et pourtant, il est là.
Tout un mystère!
Que l’homme avec son esprit si étroit
Jamais sûrement ne comprendra
Car en réalité tout est mystère
Et comme des poissons dans l’eau
Avec leurs nageoires
Nous nageons, naviguons en plein mystère.
Dieu de nos ancêtres
Qui sont partis depuis des
centaines et des milliers de decennies
Moise, avant cela
Abraham, Isaac, Jacob
Notre vie entachée d’opprobe
Et ce vieux Job!
Qui fut tenté
Malgre lui, dans sa foi
Jusque dans sa chair gravement malade.
Tout est mystère!
La vie, la mort
Un veritable revere!
Et la médaille,
A ce stade
Qui va l’emporter sur cette piste bien arrangée, bien garni de la vie?
Cette course très rude vers la victoire
Sprinter il le faut bien, devenir un bon athlète
Sans faille, sans défaut
Une commande, une demande
Saura-t-on nous pécheurs d’ici bas l’en satisfaire.
Remporter cette couronne de gloire dont Paul, ce romain convertit
Au christianisme a parlé avec une telle éloquence et assurance
Etant auteur de la majorite des écrits
rapportées dans le nouveau Testament.
Et le Christ qui l’a remporté sans fourberie, sans astuce,
haut la main
sans faire de diversion
Sur cette montagne
Resurrection! Crions de joie
Applaudissons le Christ-roi!
Assomption de la mère de Dieu
Offrande de foi
Tout un mystère! Tout est mystère!
Il est descendu puis il est monté vers les nués
Ces disciples l’ont vu
Et ils ont cru et Thomas qui avait voulu
Voir pour croire
Car c’etait pour lui, apôtre comme les autres
Qui a vecu avec lui, un mystère, un très grand mystère
Qu’il soit ressuscité
Et d’ailleurs quel mort est revenu à la vie,
De son existence, il n’a jamais vu Ça
Et nous qu’avons-nous vu et entendu
Nous qui existons encore ici-bas?
En sommes-nous temoins?
De tous ces histoires passées
Nous, génération d’aujourd’hui.
Judée, Nazareth, Jérusalem, la Palestine
Cette guerre fratricide qui n’en finit pas
Ce combat pour ce territoire.
Cette terre promise, à Moise, à ce peuple à la nuque raide
A Israel et ce Phararon, cette odieuse esclavage.
Tout un mystère!
Il est mystère, le Dieu d’Abraham
Et comme tel, le fils de l’homme, son propre fils
Annoncé par l’étoile
Maître et Seigneur de tous ces mystères
que nous vivons dans la sainte messe
laisse cela ainsi
c’est de cette facon là
qu’il l’a choisi.
Tout un mystère!
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