LAISSER GLISSER L’ATTACHE
Publié : jeudi 02 février 2012 02:20
LAISSER GLISSER L’ATTACHE
Hommes Corsaires,
Trafiqueurs de carrière !
Laissez glisser l’attache
Avant même qu’on se fâche !
Vos sources, aussi débordantes
Fussent-elles, dans le temps,
Votre entreprise, aussi florissante
Qu’elle pût apparaitre aux yeux,
Elles se dessécheront assurément
Et se dirigeront en d’autres lieux.
Les langues mensongères,
Que sont vos armes de guerre,
Vos têtes poudrières
Génératrices des combines de vipères
Ternissent vos réputations
Et vous tiennent en légitime suspicion.
Laissez glisser l’attache
Avant même qu’on se fâche !
Le faux est à l’escroc
Ce que le marteau est au BRAVO.
Deux actions sadiques
Qui piquent, paniquent,
Font couler des larmes
Et créent des vacarmes
Tant parmi les Anciens amis
Que les nouveaux convertis.
Des dizaines d’associés tombent
Devant les trames des maitres d’armes.
Des centaines de gobeurs succombent
Devant les ristournes de ces truqueurs infâmes.
Vos forfaits perpétrés en cascade
Font soupirer vos camarades.
Laissez glisser l’attache
Avant même qu’on se fâche !
Vos cordages imbibés d’impostures
Sont tombés en pourriture.
Les yeux des âmes naïves
Aveuglés par vos forces persuasives
Sont désormais affranchis
Des lustres de vos fourberies.
La bourbe est à présent récurée
Un nouveau départ pour les partis opposés.
Hommes Corsaires,
Trafiqueurs de carrière !
Laissez glisser l’attache
Avant même qu’on se fâche !
Vos sources, aussi débordantes
Fussent-elles, dans le temps,
Votre entreprise, aussi florissante
Qu’elle pût apparaitre aux yeux,
Elles se dessécheront assurément
Et se dirigeront en d’autres lieux.
Les langues mensongères,
Que sont vos armes de guerre,
Vos têtes poudrières
Génératrices des combines de vipères
Ternissent vos réputations
Et vous tiennent en légitime suspicion.
Laissez glisser l’attache
Avant même qu’on se fâche !
Le faux est à l’escroc
Ce que le marteau est au BRAVO.
Deux actions sadiques
Qui piquent, paniquent,
Font couler des larmes
Et créent des vacarmes
Tant parmi les Anciens amis
Que les nouveaux convertis.
Des dizaines d’associés tombent
Devant les trames des maitres d’armes.
Des centaines de gobeurs succombent
Devant les ristournes de ces truqueurs infâmes.
Vos forfaits perpétrés en cascade
Font soupirer vos camarades.
Laissez glisser l’attache
Avant même qu’on se fâche !
Vos cordages imbibés d’impostures
Sont tombés en pourriture.
Les yeux des âmes naïves
Aveuglés par vos forces persuasives
Sont désormais affranchis
Des lustres de vos fourberies.
La bourbe est à présent récurée
Un nouveau départ pour les partis opposés.