encore liberte
Publié : samedi 31 décembre 2011 17:47
Quand dans les vallées resonnent encore
Les tamtams des tambours
Quand dans nos mornes
Les marrons referons retentir
Le cri du lambi
Alors de tout notre âme, de tout notre coeur, à l’unissons
Nous crierons encore LIBERTE!
Quand sous le chaud soleil
Dans les champs
Les torses nues
Ruisselant se sueur et de sang
Nous nous sacrifions à faire fructifier le sol aride
Quand dans le deferlement de nos rivières en crue
Nous nous battons
Comme Manuel à gouverner la rosée
Avec nos corps et notre esprit, ensemble
Nous crierons encore LIBERTE!
Quand sous le poids de nos calvaires
Gemissant de douleurs
Nous escaladons à pas trébuchés
Les montagens abruptes devant nous dressées
Quand dans la forêt on nous poursuit avec des chiens de chasse
Dressés pour nous devorer
L’angoisse nous accapare
La peur nous empare, nous demange, nous ronge la chair
De tout notre être
Nous crierons à corps et a cri LIBERTE!
Quand encore sur ces Negriers
Comme des bêtes sauvages, enchainés
Comme des animaux sans pàture
Nous pleurons toutes les larmes de nos corps
Solitude d’une négritude escortée dans le temps
Arrachée de force du pays natale
Nous nous debattons à nous en defaire, à nous affranchir
Quand aujourd’hui encore
Sous d’autres formes
On nous entraine, nous emmène, nous embarque
Comme des têtes innocentes
Vers un abattoir à destination inconnue
Nous nous debattrons, nous nous soulèverons
Pour briser nos entraves, nos chaines
Pour construire, rebâtir l’Haiti d’hier
Faire refleurir l’ arbre de la liberte et de l’indepandance
A l’aube planté
Au printemps du 1er janvier
Bonne fête de l'indepandance à tous les haitiens d'iici et d'ailleurs, n'importe ou ils puissent se trouver sur la planète
Les tamtams des tambours
Quand dans nos mornes
Les marrons referons retentir
Le cri du lambi
Alors de tout notre âme, de tout notre coeur, à l’unissons
Nous crierons encore LIBERTE!
Quand sous le chaud soleil
Dans les champs
Les torses nues
Ruisselant se sueur et de sang
Nous nous sacrifions à faire fructifier le sol aride
Quand dans le deferlement de nos rivières en crue
Nous nous battons
Comme Manuel à gouverner la rosée
Avec nos corps et notre esprit, ensemble
Nous crierons encore LIBERTE!
Quand sous le poids de nos calvaires
Gemissant de douleurs
Nous escaladons à pas trébuchés
Les montagens abruptes devant nous dressées
Quand dans la forêt on nous poursuit avec des chiens de chasse
Dressés pour nous devorer
L’angoisse nous accapare
La peur nous empare, nous demange, nous ronge la chair
De tout notre être
Nous crierons à corps et a cri LIBERTE!
Quand encore sur ces Negriers
Comme des bêtes sauvages, enchainés
Comme des animaux sans pàture
Nous pleurons toutes les larmes de nos corps
Solitude d’une négritude escortée dans le temps
Arrachée de force du pays natale
Nous nous debattons à nous en defaire, à nous affranchir
Quand aujourd’hui encore
Sous d’autres formes
On nous entraine, nous emmène, nous embarque
Comme des têtes innocentes
Vers un abattoir à destination inconnue
Nous nous debattrons, nous nous soulèverons
Pour briser nos entraves, nos chaines
Pour construire, rebâtir l’Haiti d’hier
Faire refleurir l’ arbre de la liberte et de l’indepandance
A l’aube planté
Au printemps du 1er janvier
Bonne fête de l'indepandance à tous les haitiens d'iici et d'ailleurs, n'importe ou ils puissent se trouver sur la planète