HAITI PAPA ( les lettres P et A )
Publié : vendredi 15 juillet 2011 17:16
Pendant des ans,
Tu possédais aliments
Et pierres qui pétillent
Avant de te placer sous les aiguilles
Des Aventuriers Paneuropéens.
De partout, les politiciens
T’appelaient « la Perle des Antilles ».
Par l’ampleur de tes produits
Et ton atmosphère sans peccadille
Tu étais un petit paradis
Dans les annales, pratiquement,
Tu es de penchant paysan
Avec une agriculture primaire.
Ta progéniture aime la poésie,
L’art de la poterie.
Et cela, d’une poussée particulière
Les « Albes » PLANTEURS
Ont pris ton ardeur.
Ils ont porté ta parure en pièces,
Sans aucune politesse.
Avec une aisance pieuse,
Ils proposèrent le paiement,
Après les prouesses prodigieuses,
Pour ton affranchissement.
Prisonnier amer !
Pingre propriétaire !
Affaibli par des affrontements politiques,
Des phénomènes atmosphériques,
Et pillé, autrefois, par les Princes de Paris,
Tu es passé pour le pays
Le plus pauvre des Amériques.
Affront à nos Pères d’Afrique !
Haïti, Papa,
Ne pleure pas !
Tu portes un parfum attrayant.
Avant, tu avivais les Petits,
Tu affrontais les puissants.
Mon âme t’applaudit.
Haïti, tu n’es pas petit.
Tu es un precieux pays
Tu possédais aliments
Et pierres qui pétillent
Avant de te placer sous les aiguilles
Des Aventuriers Paneuropéens.
De partout, les politiciens
T’appelaient « la Perle des Antilles ».
Par l’ampleur de tes produits
Et ton atmosphère sans peccadille
Tu étais un petit paradis
Dans les annales, pratiquement,
Tu es de penchant paysan
Avec une agriculture primaire.
Ta progéniture aime la poésie,
L’art de la poterie.
Et cela, d’une poussée particulière
Les « Albes » PLANTEURS
Ont pris ton ardeur.
Ils ont porté ta parure en pièces,
Sans aucune politesse.
Avec une aisance pieuse,
Ils proposèrent le paiement,
Après les prouesses prodigieuses,
Pour ton affranchissement.
Prisonnier amer !
Pingre propriétaire !
Affaibli par des affrontements politiques,
Des phénomènes atmosphériques,
Et pillé, autrefois, par les Princes de Paris,
Tu es passé pour le pays
Le plus pauvre des Amériques.
Affront à nos Pères d’Afrique !
Haïti, Papa,
Ne pleure pas !
Tu portes un parfum attrayant.
Avant, tu avivais les Petits,
Tu affrontais les puissants.
Mon âme t’applaudit.
Haïti, tu n’es pas petit.
Tu es un precieux pays