LA PERFIDIE
Publié : lundi 06 juin 2011 19:02
LA PERFIDIE
Jeune vampire aux yeux de saphir,
Qui nuit et jour, éveille l’amour
Des vierges pour ensuite les prendre au piège.
Pour ton plaisir, leur cœur, tu déchires.
Dans ton four, tu brûles leur velours
Cloués dans tes sièges de sortilège.
Ô Perfidie !
Avec brio, tu t’inscrits en faux
Dans tes parements et tes serments.
Tu fais rêver, en pleine journée,
Des joyaux en or sur un plateau
Et, sèchement, les ôter par ton vent
Inavoué de pures obscurités.
Ô Perfidie !
Dans la rage, tu plies tes bagages
Apres que leur sang, complètement,
Tu dépraves avec ton acre bave.
Tu t’engages dans des actes sauvages,
Traduisant ton genre ensorcelant,
Exempt de courage et de coeur sage.
Ô Perfidie !
Le jeu de romance durant l’enfance
Crée d’intenses malheurs et souffrances.
Les cœurs, ainsi, laissent la sagesse
Pour se greffer aux fleurs de beauté
Dont les années flétriront les fées.
Quelle tristesse ! Quelle maladresse !
Ô Perfidie !
Perfidie, Je te déteste !
Jeune vampire aux yeux de saphir,
Qui nuit et jour, éveille l’amour
Des vierges pour ensuite les prendre au piège.
Pour ton plaisir, leur cœur, tu déchires.
Dans ton four, tu brûles leur velours
Cloués dans tes sièges de sortilège.
Ô Perfidie !
Avec brio, tu t’inscrits en faux
Dans tes parements et tes serments.
Tu fais rêver, en pleine journée,
Des joyaux en or sur un plateau
Et, sèchement, les ôter par ton vent
Inavoué de pures obscurités.
Ô Perfidie !
Dans la rage, tu plies tes bagages
Apres que leur sang, complètement,
Tu dépraves avec ton acre bave.
Tu t’engages dans des actes sauvages,
Traduisant ton genre ensorcelant,
Exempt de courage et de coeur sage.
Ô Perfidie !
Le jeu de romance durant l’enfance
Crée d’intenses malheurs et souffrances.
Les cœurs, ainsi, laissent la sagesse
Pour se greffer aux fleurs de beauté
Dont les années flétriront les fées.
Quelle tristesse ! Quelle maladresse !
Ô Perfidie !
Perfidie, Je te déteste !