TREMBLEMENT de TERRE D'HAITI
Publié : lundi 14 mars 2011 12:36
(TREMBLEMENT de TERRE D’HAITI)
PLEURS et DOULEURS
En ce Mardi du 12 Janvier,
Sur cette terre diversifiée et ensoleillée,
Surnommée Haïti, la vie dans tout son habit
S’est complètement convertie.
Des milliers de trépassés,
Jonchés de tous les cotés,
Répandent une fragrance
De répugnance.
Maisons effondrées, constructions fissurées,
Le pays a ainsi affiché un visage mal tourné.
Les oiseaux ont bien un nid,
Cependant, les enfants du pays sont sans abri.
La rosée ne fait pas de pitié,
La pluie va commencer.
Il faut se protéger du danger.
La nature n’étant pas clémente,
Les autorités nous mentent.
La situation est bien urgente.
Petits et grands se lamentent.
Des rescapés sous des couvertures branlantes
Demandent beaucoup plus de tentes.
Qu’elles soient en poil ou en toile,
Il vaut mieux consentir le voile
Que de dormir à la belle étoile.
La police ne remplit pas son rôle.
Nos fils et nos filles, on les viole et vole
Dans les rues et les Avenues.
A la vue des intrus et des inconnus,
Hommes et femmes s’habillent,
Se déshabillent et se maquillent.
L’intimité n’est plus d’actualité.
Les commodités sont désormais démodées.
C’est une totale débâcle.
On ne croit plus aux miracles et aux oracles.
Familles endeuillées, fortunes desséchées.
On se sent clouer
Du matin au soir
Dans le couloir du désespoir.
Malheurs et douleurs
Voilà les pleurs de nos Frères et Sœurs
PLEURS et DOULEURS
En ce Mardi du 12 Janvier,
Sur cette terre diversifiée et ensoleillée,
Surnommée Haïti, la vie dans tout son habit
S’est complètement convertie.
Des milliers de trépassés,
Jonchés de tous les cotés,
Répandent une fragrance
De répugnance.
Maisons effondrées, constructions fissurées,
Le pays a ainsi affiché un visage mal tourné.
Les oiseaux ont bien un nid,
Cependant, les enfants du pays sont sans abri.
La rosée ne fait pas de pitié,
La pluie va commencer.
Il faut se protéger du danger.
La nature n’étant pas clémente,
Les autorités nous mentent.
La situation est bien urgente.
Petits et grands se lamentent.
Des rescapés sous des couvertures branlantes
Demandent beaucoup plus de tentes.
Qu’elles soient en poil ou en toile,
Il vaut mieux consentir le voile
Que de dormir à la belle étoile.
La police ne remplit pas son rôle.
Nos fils et nos filles, on les viole et vole
Dans les rues et les Avenues.
A la vue des intrus et des inconnus,
Hommes et femmes s’habillent,
Se déshabillent et se maquillent.
L’intimité n’est plus d’actualité.
Les commodités sont désormais démodées.
C’est une totale débâcle.
On ne croit plus aux miracles et aux oracles.
Familles endeuillées, fortunes desséchées.
On se sent clouer
Du matin au soir
Dans le couloir du désespoir.
Malheurs et douleurs
Voilà les pleurs de nos Frères et Sœurs