Je ne serais peut être pas, voir jamais publier, je ne sais même pas si les propos que je tiens de part et d’autre sont entendus, chez les êtres concernés.
Mais j’écris quand même, je ne me vois pas comme une lumière dans l’esprit des plus ignorants, ni souhaiterais être pris en partie par la critique et le jugement de certains sur mes écrits.
Quoi que j’aurais la satisfaction d’en avoir heurter quelques uns sur ces textes qui semblent refléter quelques réalités seulement observer depuis cette grande république des droits de l’homme qui se voit par la mondialisation et au nom du capitalisme sortir de ce joug qui a fait sa renommer à travers l’histoire du monde politique.
C’est ma conscience peut être qui m’ordonne et me pousse à écrire sur ce sujet et des problèmes concernant notre pays, je voudrais informer et dire ce qui me traverse l’esprit, ébranler les plus doctes avec leurs discours qui se perdent parfois en voulant dénoncer et informer sur tout ce qui ne va pas.
Alors que vue la situation à la fois chez nous et dans le monde, ils leurs frauderaient éduquer et faire comprendre, pourquoi cela ne va pas et comment il y aurait moyen de faire évoluer les choses dans l’intérêt général.
Mais non sans faux semblant, je ne voudrais pointer du doigt nos dirigeants politiques, ils s’inscrivent après tout dans cette légitimité et souveraineté politique de la république française.
Mais que dire quand les mots ne résonnent plus dans les consciences de ceux qui peuvent et doivent nous entendre, que faire quand un peuple se sent opprimer par les abus des dirigeants qui font la pluie et le beau temps, économique et politique dans ce pays.
Le vent ne prévient jamais quand il tourne, et certains ont intérêt à être dans le bon côté, afin que eux aussi profitent de ce climat propice a leur petit business, ils s’inscrivent dans cette mouvance et dans la logique capitaliste qui dévore et ne cesse de faire grandir en Guadeloupe l’inquiétude des jeunes guadeloupéens qui ont l’ambition et la volonté de bien vouloir faire avancer le pays.
Nous avons des intellectuels, des personnalités qui peuvent et veulent aller de l’avant, la jeunesse guadeloupéenne diplômé qui peut et veut faire avancé le pays, elle n’est pas en Guadeloupe mais en métropole et très souvent se voit convaincre d’un poste plus gratifiant ici, que dans son pays, et nous savons qu’il est très difficile de redescendre quand on croit avoir atteint le haut de l’échelle, mais à quel prix.
Nous avons les moyens de réussir et nous sommes maintenant l’instrument de notre propre destin social.
Si certains avant vous n’avait pas eu l’audace de se lancer, de dire cette fois « Non , moi aussi je peux et je dois essayer, je dois le faire à la fois pour moi et pour la génération qui suivra ».
Et n’allons pas chercher loin, les stèles dans les ronds-points de nos communes sont là pour nous rappeler la vie de ces gens qui ont voulus braver les règles et les opinions afin d’une meilleurs justice, eux n’avaient pas peur, eux étaient conscient de l’échéance et de la tournure qu’allait prendre leur pays s’ils avaient pas osé, lever la voix.
Ce n’est pas, en observant une minute de silence, en banalisant une journée qu’on les rendra hommage maintenant, mais bien plutôt en nous battant pour leurs idées aujourd’hui et réaffirmant leur courage et leur volonté fassent à ces injustices qui nous font fassent.
Alors à ce moment je suis sûr que nous aurions raison d’agir dans ce sens, puisque c’est au nom de ces trois grands principes de la république que nous nous battons « égalité, fraternité, et liberté ».
Nous devons tous nous voir en Guadeloupe comme « égal », puis prendre conscience de cette « fraternité historique » qui nous lie, afin que dans notre pays nous puissions demeurer « libre ».
Autrefois on nous à déraciner de notre pays, certains en tant qu‘engager et d‘autre au nom de l‘esclavage pour une grande majorité du peuple, aujourd’hui c’est presque une immigration déguisé qui se dessine cette fois-ci, pour la grande métropole, et un aller encore, sans possibilité de retour.
Peut être oui en tant que touriste de son pays, visiteurs d’où je suis née, et nos fils et nos filles nous demanderons et nous poserons des questions sur non pas ce qu’elle est, mais sur ce qu’était la Guadeloupe, puisque à ce moment là il sera peut être, déjà trop tard.
Voudriez vous bien laisser quelque commentaire c'est la première fois que je me lance dans l'écriture de texte comme cela et j'aimerais avoir votre opinion, sincèrement cela m'aiderait MERCI.